La fin de l’article est quand même particulièrement éloquente :
"Derrière le postier protégé par le monopole étatique, il y a un système holiste où tout se tient, où toutes les dimensions de la vie sont rassemblées sous le parapluie de l’assistanat : le collègue est le confident, le camarade de chambrée, le partenaire de jeu, le compagnon de boisson. Bref, tout sauf un compétiteur, parce que la compétition n’a pas lieu d’être dans une société surprotégée par l’Etat-Providence."
En Français dans le texte : la solidarité, c’est ringard. Pas seulement au niveau de l’État (ça on le savait déjà). Non, non, même entre les gens eux-mêmes, l’entre-aide, la camaraderie, les affinités, simplement la coopération au boulot entre collègues ? Pas bon ça, c’est pas la France d’après, c’est trop ringard... J’imagine que l’auteur (mais je sais qu’il ne me répondra pas) n’a pas d’amis (ou simplement de gens qu’il apprécie) au sein de son école, ni ailleurs. C’est la génération à venir, que diable.
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