De toute façon, il ne peut sortir que du bon de tout cela, avec remise en question, tant dans les écoles de journalisme que dans les rédactions.
Aucune personne censée ne peut souhaiter la disparition d’un journal. Ceci étant, je pense que la crise de la presse provient d’un tas de facteurs qui se cumulent, comme vous dites.
Néanmoins, je retiens deux facteurs aggravants :
- le prix
- l’élitisme
En effet, comment se fait-il qu’un journal comme Ouest France traverse mieux la crise que ses confrères ?De mon point de vue, il parvient à résoudre ces deux problèmes. Qualité de format, de traitement de l’info pour tous, excellente couverture des petites news locales, tout cela pour un prix mini. Comparé à Libé ou au Monde , qui font hésiter à sortir le porte monnaie.
Pour finir, j’ajouterai que les modes de vie avec l’internet, la compression du temps des salariés, font que je n’ai parfois même pas le temps de lire le journal. Je veux bien éteindre la radio, ou la TV pour lire un très bon journal, ce qui est bien sûr subjectif
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération