Réponse à un commentaire : "Si l’on avait conservé l’ordre initial et que l’assemblée n’avait pas été du goût du président nouvellement élu, on aurait eu le droit à une dissolution..."
L’ordre initiale était : élections législatives (renouvellement des députés élus en 2002) puis présidentielles (renouvellement du PR). Dans ce cas là, on peut penser que le président élu aurait été conforme au vote législatif auparavant. Mais le calendrier aurait, de fait, donné plus d’autorité aux députés, qui n’auraient ainsi pas été, en quelque sorte, héritiers de l’élection présidentielle.
Une fois l’assemblée nationale élue, le nouveau président n’aurait pas pu la dissoudre avant un an.
On peut penser, par ailleurs, que suite au fiasco de Chirac en 1997, il aurait réfléchi à deux fois avant de prendre une telle décision. Par conséquent, s’il n’avait pas été de l’opinion de la majorité, il aurait été contraint à la cohabitation pour au moins un an.
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