Voilà les contorsions auquelles sont obligés de se livrer les étatistes quand ils veulent sauver un monstre, le monopole d’Etat sur l’éducation, ils sont obligés d’en rajouter une couche d’interventionnisme, plus de contrôle, plus d’inquisition, plus d’obligations.
Le droit de grève est une liberté (sauf pour l’employeur, qui ne peut licencier le gréviste) fondamentale, mais il y a aussi d’autres libertés qui sont brimés dans un système normatif, qui, surtout, échoue à jouer son rôle d’égalité des chances pour tous (Bourdieu, les Héritiers).
L’Etat devrait se contenter de délivrer des chèques éducation, libre à chacun de choisir l’école de son choix, avec les programmes de son choix, avec les enseignants de son choix.
La question d’un service minimum ne se poserait même pas.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération