Imaginez un instant que les médias pubics parlent de ce qui intéressent vraiment les auditeurs, les téléspectateurs, les lecteurs ?
Quelques exemples : la déréglementation du marché du travail,le droit du travail qui renforce le droit des employeurs, les délocalisations, la part payé par les plus pauvres aux plus riches, la santé vue par le prisme du rendement, les bénéfices des firmes pharmaceutiques et la vie de chateau des spécilistes en tout genre, l’augmentation de l’énergie et ses conséquences ainsi que l’absence d’une volonté politique pour "prévoir" la reconversion énergétique. Le tout nucléaire pose de sérieux problèmes pour les générations avenir. On peut continuer avec la désindustrialisation, la dégradation des conditions de travail dans tous les secteurs (publics, privés), l’opacité de la politique de Bruxelles, l’euro fort, les conséquences des "subprimes" sur notre vie quotidienne, les subventions accordées au patronat sans contre parti, les OGM, l’obésité, la viellesse, les séniors, le taux de chômage qui ne baisse pas, la privatisation rampante de la formation,les mouvements sociaux, etc..., etc..., etc...ont droits à 30’’ ou 1’ (A la télé principalement)
Surtout éviter de parler des questions qui fâchent:l’économie de marché et de ses conséquences.
Je suis de mauvaise foi : le temps consacré dans un journal aux chiens écrasés, aux catastrophes naturelles(tremblement de terre ou typhon) et pas naturelles (guerres), aux sports, au cinéma, augmente. Nous avons droit à notre Sarko quotidien. Pour m’informer, j’achète des hebdos, mais pour observer et me mettre à jour avec la nouvelle langue, la lucarne et la radio sont de bons moyens.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération