Du long, du lourd, du déjanté, du saturé au niveau de la B.O, 3h, putain.....
J’avais adoré Desplechin dans "La vie des Morts" jusqu’à "Comment , je me suis disputé..ma vie sexuelle", mais depuis "Rois et Reines", Mathieu Amalric - exellent dans "le Scaphandre et le Papillon" -, Emanuelle Devos - plutôt moins hystérique dérangée que d’habitude", Catherine Deneuve - la seule -avec Chiara, Jean-Paul Roussillon, et Melvil Poupaud - a tenir le Cap d’une farce un peu branque, incohérente et qui cherche ses repères jusqu’à la fin, c’est too much.
On sort au terme de ces 3 heures éreinté, content que ce soit la fin de cette plongée dans un capharnaüm de personnages pile dans leur rôle habituel,dont Anne Consigny qui exelle dans la depression éplorée depuis "le Grand Alibi" ; Emannuelle Devos nature toujours aussi borderline, et Amalric confluent de toutes les névroses ...
Ouf..on respire.
Quant au son omniprésent, il faut baisser son sonautone pour supporter : je suppose que c’est pour donner du relief à Roubaix dont les clichés sinon, sont comme le climat - Bienvenu chez les Ch’tis ... !!! pour de vrai- à se tirer des plombs tellement c’est gris sale, fade et sans évolution.
Allez voir plutôt "Nés en 68", frais, bien joué - Léticia Casta est plutôt très convaincante et s’affirme dans ce fim- , qui donne une assez jolie chronique de la vie comme elle va depuis 1968 - sans éviter quelques clichés mais vous sortez requinqués-.
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