Les scientifiques du GIEC sont manifestement très en dessous de la réalité de l’emballement climatique planétaire, et de la possibilité extrêmement proche d’un basculement climatique irréversible, pour une bonne raison : Leur conclusions sont soumises à consensus et à pressions gouvernementales pour limiter les impacts économiques de conclusions trop alarmistes.
L’érosion de la biodiversité est actuellement multifactorielle et l’un sinon le premier facteur en est l’introduction d’espèces invasives, le second la destruction de l’habitat, et le troisieme le rechauffement inexorable de la planète.
Actuellement les modèles du GIEC sont dépassés par l’accélération accrue du rechauffement et à un système complexe lié à la diminution de la capacité d’absorbtion de GES par les océans, dont l’océan austral-, la fonte accélérée des calottes glacières et donc la modification de l’albédo- la capacité de refléchisselment de la mer sombre étant 80 % moindre que celle des glaces artiques ou antartiques - et l’augmentation ininterrompue des emissions antropiques notamment liées aux pays émergents dont la Chine - qui met en route chaque jour une centrale à charbon - et l’Indonnésie qui par la déforestation massive - liée en partie à la plantation de palmiers à huile au bénéfice de l’agro-alimentaire occidental- de forêts primaires de tourbières est devenue le troisième emetteur à gas à effet de serre derrière les USA et la Chine.
L’hypothès CO2 ? ce n’est pas une hypothèse, mais une conjonction d’observations et de mesures de plus en plus précises qui hélas ne font que valider les première correlations statistiques issues des carottages de l’équipe du professeur Lorius, entre taux de CO2 et températures observées dans les millions d’années nous ayant précédés.
Cela n’a rien d’approximatif, ni d’hypothétique, c’est actuellement l’état d’une planète qui ne peut plus absorber l’excès permanent et accéléré d’activités humaines génératrices de gas à effet de sere issus de la combustion fossile, l’agriculture - les rizières étant un émetteur majeur de méthane avec l’élevage bovin - et la déforestation.
Les facteurs sont si multifactoriels et complexes et hormis le cumul d’observations de biologistes, écologues, climatologues, océanologues, qui malheureusement ne sont qu’observateurs et non partie prenantes , je ne sais pas qui peut actuellement écrire un papier un peu synthétique de l’état des lieux.
Sur certains portails spécialisés, les nouvelles observations s’enchainents, toujours plus pessimistes, alors même que les mesures prises, sont cosmétiques en regard des enjeux.
Vous parlez d’empreinte écologique : Avez-vous calculé la votre ???
Je l’ai fait , de nombreuses fois en ligne sur le site de WWF :
Je mange bio,local - AMAP- j’utilise des ampoules basse consommation, je n’ai pas de voiture - et c’est un calvaire... !!-, je ne possède par d’écran plasma - très consommateur en énergie-, je n’utlise pas l’avion, mais circule en Tram et en train, je mange peu de viande, achète du coton biologique - 25 % de la consommation totale des Pesticides sur la Planète-, habite dans le Sud et me chauffe très peu - au Gaz..-, mange très peu de viande rouge - très consommatrice en énergie pour produire des protéines animales à partir de protéines végétales -..., je recycle le papier, le verre et achète en vrac....BREF, je suis une bonne écocitoyenne... et vous savez quoi ???
Mon empreinte écologique est telle que si tout le monde vivait comme moi, il faudrait 1 planète et demie...CQFD ; Nous sommes beaiucoup trop nombreux sur cette planète qui ne peu supporter, sauf à vivre comme au néolithique,autant de population humaine consommatrice d’énergie, de ressources et émettrice d’autant de pollutions.
Il est manifeste que le mode de vie occidental n’est pas généralisable et plus encore qu’à ce rytme de destructions de ressources vitales, et de desertification - par destruction des terres arables - de la planète, la population humaine n’arrivera pas à 9 millirds d’individus.
Pour boucler - même pas - le tableau, sachez le principal facteur de destruction en marche est l’acidification des océans observée sur tous les océans du globe, qui met à mal la construction des massifs corraliens - et donc facilite les ouragans - la construction des coquilles de microplancton et celle des crustacés et à terme la respiration des poissons.
Que les techniques mises en place , actuellement, partout dans le monde de dessalinisation, pour pallier au manque d’eau est une catastrophe qui salinise les effluents rejettés et acidifie gravement les bassins océaniques concernés.
Il s’avère donc que la conjonction de facteurs multiples se cumulant façonne une planète diablement plus complexe que celle que vous decrivez qui ressemble un peu à ce qu’on en disait dans les années 70.
Je vous conseiile d’aller voir les sites www.actuenvirommement.fr , www.notreplaneteinfo.fr, www.lejournaldelenvironnement.fr
contreinfo.info/article.php3 , et le site www.contreinfo.fr , les articles de Courrier International sont aussi très instructifs
J’ai tendance à penser que tout "militant écologiste" devrait avant toute chose possèder une formation en biologie voir en écologie pour être crédible.Ou tout au moins avoir mis le nez dans les écrits de spécialistes , type Gille Eric Serallini pour les OGM.
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