Il y a eu un décalage de trois semaines entre le mariage et l’annulation. Durant cette période, les époux n’ont pas vécu ensemble. Ils se sont donc séparés physiquement faute de l’être juridiquement.
D’après l’avocat de l’épouse, un divorce par consentement mutuel aurait pris deux mois dans un tel cas de figure. L’épouse a accepté l’annulation du mariage à la fois pour en finir plus vite, mais également sous pression de sa famille et de celle de son ex futur mari.
Je trouve limite de taxer les gens d’insensibles parce qu’on est contre une accélération de la séparation juridique. Car deux mois de plus, ce n’est pas la mer à boire lorsque l’on est séparés physiquement. C’est du moins le cas, lorsqu’on prend en compte les conséquences de cette annulation pour de nombreuses autres jeunes femmes.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération