Article équilibré. S’en prendre à Sarkozy à tort et à travers affaiblit les attaques nécessaires et justifiées. Pour le coup, avant hier, où on lui cherchait des noises pour avoir tancé un technicien impoli et tutoyé un journaliste sur sa mise en placard, et hier, dans son intervention télévisée sur la libération d’Ingrid Bétancourt, il faut reconnaitre qu’on ne peut rien lui reprocher de particulier.