En réponse à :
A mes Doc. préférés.
Pour avoir vécu quelques années dans ces riantes contrées prussiennes, je confirme que c’était le sport national, du moins les deux mois d’été, car le reste du temps, les moins 30 ° génent un peu le scénario....
Les délurées pratiquent alors l’arnaque en chambre, du mions à l’abri.
Vous étes dans un restaurant, ou un bar, et une vision fort accorte vous aborde, s’installe. Si vous faites l’erreur de vous croire beau et de trouver cela normal, la donzelle glisse , lors d’un moment d’inatention ou une courte absence, des "gouttes bleues" dans votre verre. En fait un colyrre.
Au bout de 20/30 mn (le temps que vous soyez dans la chambre de la sus-dite (ou pire, chez vous), les effets arrivent : tachychardie, dyspnéisme, papalysie musculaire.
Vous restez concient, mais vous étes impuissant quand arrive Serguei le complice pour vous dépouiller.
Deux parades :
1/ Se marier avec une belle italienne avant de partir là bas.
2/ Y partir avec un gros chagrin d’amour
Dans les deux cas, vous étes blindé, car, comme disait Bashung :
"coeur transi reste sourd aux cris du marchand de glaces..."
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