Ce qu’il faut savoir, c’est que malade imaginaire ou non, c’est un malade...
De plus, les politiques de dépistage systématique mettent dans la tête de bien des gens en bonne santé, qu’ils sont des malades potentiels. Comme ces dépistages couvrent plusieurs pathologies (sein, prostate, intestin), s’ils sont un tant soit peu hypocondriaques...
Sans compter l’alimentation, l’obésité, etc
Nous sommes dans une démarche de "gestion du risque".
En abordant l’aspect neurophysiologique de l’effet placebo, les éléments permettant de faire le lien entre santé et gestion du stress, je proposais de tabler sur l’amélioration de la santé quotidienne déjà en oeuvrant pour réduire le stress négatif (qui rend malade ou violent) et je donnais un exemple. Il me semblait que c’était des préoccupations premières du ministère, bien plus que de savoir - a priori - comment réduire "mécaniquement" les dépenses de santé.
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