Contenu assez logique et pertinent. Seulement l’auteur est tellement imprégné de l’Etat providence qu’il se sent perdu si l’administration étatique desserre son étreinte. D’ou ces mots chargés de desespoir :
« Rompre pour aller où ? Pour tendre vers quoi ? Rompre les amarres et laisser le radeau France flotter au gré de la mondialisation, au gré des courants de la Bourse et de la finance internationale ? »
Il faut un peu plus de confiance dans l’homme s’il n’est pas bridé par une armée de fonctionnaires peu soucieux du bien-être de leurs concitoyens. Les richesses du monde moderne ne sont pas issues des Etats, mais du travail des hommes créatifs quand ils ne sont pas entravés par des règlements dépassés et scrupuleusement appliqués par des improductifs. L’Etat doit s’occuper de la justice, de la sécurité, des infrastructures lourdes et ne pas se meler du secteur productif marchand.
Ce qui me gêne c’est que l’on puisse penser qu’il n’y pas de salut économique ou social hors l’Etat centralisateur.
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