Il y a quelques années, j’étais en tournage dans le nord du Yemen. Notre chauffeur avait la joue flasque caractéristique des consommateurs de qat. Il était régulièrement de fort mauvaise humeur le matin, et il nous fallait interrompre le tournage vers le milieu de la matinée afin qu’il puisse se ravitailler. Après son grand plaisir était de tirer à la Kalachnikov sur les vautours... un comique, quoi. Nous avons bien sur essayé... pas de quoi écrire à sa mère, à part les insomnies. Et il nous fallait choisir les angles de vue pour éviter de filmer un paysage hérissé de plastiques rose abandonnés. Rien à voir avec un bon bordeaux ou une bonne herbe thaï....
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