L’agoravoxien et ses obsessions : refus des privatisations, de la dérégulation, de la mondialisation au nom de la défense du social, le tout pimenté de préoccupations écologiques avec un soupçon de principe de précaution.
Pourtant cette défense du social est bien suspecte : dans les faits, elle se traduit surtout par le bétonnage des avantages acquis de quelques catégories professionnelles privilégiées comme les fonctionnaires et les salariés des entreprises d’état. Le reste n’ayant aucune chance d’échapper à la mondialisation, mais chaudement appelé à continuer à financer par ses impôts ces avantages acquis au nom de la sacro-sainte défense du service public.
Tout compte fait je préfère encore le libéralisme économique à cette attitude pseudo-vertueuse de l’agora-français moyen éclairé à qui on ne la fait pas avec la honteuse mondialisation anglo-saxonne.