Le sanglo de l’homme bon et pourquoi pas le sanglo de la femme bonne ?Richesse/pauvreté sont les deux facettes d’une même pièce.
Maintenant que l’esclavage est aboli en occident, comment les élites peuvent-elles s’enrichir mais surtout comment peuvent-elles se maintenir aux manettes du pouvoir mondialisé ?
Ce que je trouve stupéfiant, c’est de parler de la pauvreté ou de la misère comme quelque chose qui n’était pas "inclu" dans un choix politique dont l’ économie et le système financier sont la matrice de cette politique.
Ces "exclus" sont encore plus nécessaires aujourd’hui qu’hier au capitalisme. Quand un état pour des raisons idéologiques décide de détricoter tout ce qui a été mis en place par le C N R après 39-40 prouvant que l’on pouvait faire reculer la pauvreté à grande échelle dans ce pays, les inclus connaissent les solutions. Mais il ne faut pas contrarier madame Parisot.
A l’heure où l’écologie devient un critère, un "exclu" a moins d’impacte sur l’environnement que les "inclus".
Avec que des consommateurs ayant le statut d’ "exclus" Borloo aurait eu du mal à imaginer "une taxe pique nique".
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