Excellent article. On entre dans l’histoire du sang contaminé...Responsables mais pas coupables ????
Pour info la question écrite suivante (tjs sans réponse) :
Dossier Hépatite B
*13ème législature *
>
> Question N° : * 23938 * de * M. Lezeau Michel *( Union pour un
> Mouvement Populaire - Indre-et-Loire ) *QE *
> Ministère interrogé : Santé, jeunesse, sports et vie associative
> Ministère attributaire : Santé, jeunesse, sports et vie associative
>
> Question publiée au JO le : *27/05/2008* page : *4352*
>
> Michel LEZEAU député a déposé une QE sur l’hépatite B :
>
> > M. Michel Lezeau attire l’attention de Mme la ministre de la santé, de
> > la jeunesse, des sports et de la vie associative sur l’obligation du
> > vaccin contre l’hépatite B. Plusieurs études médicales montrent que
> > rien ne prouverait que ce vaccin protège réellement ceux qui le
> > reçoivent. Il pourrait par ailleurs provoquer des complications
> > post-vaccinales pour une protection somme toute limitée dans le temps.
> > De plus, ce vaccin est riche en aluminium, puissant neurotoxique, à
> > l’origine de certaines maladies graves. De plus, il est admis que les
> > rappels successifs, forçant le corps à produire des anti-corps,
> > provoquent des dysfonctionnements immunitaires. Aussi il lui demande
> > de bien vouloir l’éclairer sur les risques médicaux réels de ce vaccin
> > et, si les dangers mentionnés étaient avérés, de lui indiquer ce qui
> > pourrait être entrepris pour y remédier.
Patrick Le Bars
Chargé de communication
Tel. 06 18 08 74 62
Phase 2 : Pour compléter la question écrite (restée encore sans réponse)
Courrier à Nicolas Dryll attaché parlementaire :
Question de la vaccination obligatoire de l’hépatite B pour le personnel soignant dans les maisons de retraite ?
Recommander le vaccin mais laisser le personnel libre de son choix.
Dans ce climat d’incertitude sur l’innocuité du vaccin, avec le débat qui se déroule sur internet parmi les victimes, elle ne veut pas prendre le risque d’une vaccination pouvant avoir des conséquences invalidantes et propose de signer une décharge à son employeur. La vaccination étant obligatoire en refusant ce vaccin, elle risque de perdre son emploi alors qu’elle donne toute satisfaction sur le plan du travail. Elle préconise un aménagement législatif pour laisser le personnel soignant libre de son choix en ce qui concerne le vaccin de l’hépatite B. Actuellement le seul choix est la vaccination ou la perte d’emploi…
Peux tu apporter ces précisions à la question écrite proposée par Michel Lezeau en « ciblant » plus particulièrement le cas des aides-soignantes en maison de retraite très, très,raremement confrontées à cette maladie
Les arguments :
Le vaccin de l’hépatite est l’objet de doutes quant à ses effets secondaires, notamment en ce qui concerne la sclérose en plaque qui serait due à un de ses adjuvants l’hydroxyde d’aluminium. Au nom du principe de précaution ne faut-il pas laisser chaque personnel libre de son choix au lieu d’imposer une vaccination obligatoire pouvant avoir des effets désastreux sur la santé. Certains personnels comme les aides-soignants dans les maisons de retraite ne sont pas au contact de populations à risque et sont à l’abri de contamination en respectant de simples règles d’hygiène . Ils pourraient signer une décharge auprès de leur direction s’ils refusent de se faire vacciner.
Les laboratoires ont fait de gros efforts de promotion de leurs vaccins dans un but mercantile avançant même l’hypothèse d’une contamination salivaire (démentie depuis). Mais la justice a reconnu à plusieurs reprises un lien direct entre vaccination contre l’hépatite B et sclérose en plaques. Du fait du caractère obligatoire, l’état assume, à leur place, la responsabilité des laboratoires( conformément aux dispositions de l’article L.10-1 du code de santé publique) face aux accidents liés directement aux vaccinations obligatoires.
En ne rendant plus les vaccinations obligatoires, mais recommandées, en laissant les gens responsables de leur choix, il n’ y aura donc plus d’indemnisations à la charge de l’Etat en cas d’accidents dus aux effets secondaires.
Le choix doit reste entier au salarié et s’il se trouve contaminé sur son lieu de travail, et il ne pourra pas prétendre à être indemnisé par son employeur et l’Etat. Sur un plan strictement économique l’Etat ne déboursera rien pour le salarié, donc pas de procès, et pas de pension pour maladie invalidante lié à la contamination.
De plus le laboratoire, qui vante si bien les mérites de son produit sera seul responsable de ce qu’il met en vente.
S’il y a contamination, malgré le vaccin, ou maladie survenant suite aux effets secondaires, le salarié devra se retourner contre le laboratoire et non vers le gouvernement.
Les vaccinations obligatoires mériteraient sérieusement d’être remises en question comme elles l’ont été dans d’autres
pays voisins : « Doit on prendre le risque de se rendre malade pour un risque hypothétique ? »
Enfin demandons l’application de la loi KOUCHNER du 2 mars 2002 (art. 11114 CSP) disant « aucun traitement, aucun acte médical ne peut être appliqué, sans le consentement du patient »
Patrick Le Bars
Chargé de communication
Tel. 06 18 08 74 62
Excellent article. On entre dans l’histoire du sang contaminé...Responsables mais pas coupables ????
Pour info la question écrite suivante (tjs sans réponse) :