à PascalR
Ce qui déclenche la violence, c’est le contraste entre les pauvres et les riches. Il y a des régions en Afrique où tout le monde est pauvre, et donc personne ne se sent lésé.
Au Brésil, les favélas sont contigues avec les quartiers riches, et les pauvres sont constamment confrontés à la richesse de certains qui leur renvoye la misère de leur vie.
Résultat, ce sont les lieux les plus violents du monde.
En France on voit la même chose, mais de façon plus atténuée : les gens des cités ne crévent pas de faim, mais voient leurs perspectives beaucoup plus limitées que celle des autres, et cela les frustre.
Ce n’est pourtant pas très difficile à comprendre, dans une entreprise si quelques salariés reçoivent 5% en plus pour le même travail que d’autres, cela va causer des troubles et même amener des grèves. Pensez-vous qu’ils ont tort simplement parce qu’ils ne meurent pas de faim ?
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