En lisant le titre, j’ai pensé qu’enfin quelqu’un dénonçait la pratique des crédits révolving. Vous savez ceux qui s’adresse aux plus pauvres, ceux dont les fins de mois commencent le 2.
Ces crédits iniques à 16% d’intérêts, à la limite de l’usure, que l’on n’arrive jamais à rembourser totalement parce que chaque mois est difficile à finir et que les dettes enflent toute seule.
Il existe une solution simple, interdire les crédits aux formules complexes et revenir à des taux raisonnables en réduisant le seuil de l’usure à une valeur proche du taux interbancaire. Bien entendu, les hommes politiques au pouvoir ne le font pas. Ils ne gouvernent pas dans l’intérêt collectif, ils font des affaires.
Quoiqu’il en soit, votre article est intéressant et rappelle que lorsque tout va bien, les profits sont privatisés et qu’a l’inverse, pour éviter que les riches actionnaires et amis intimes des hommes politiques, ne versent un centime en refinançant les sociétés en difficulté, c’est à dire fassent leur devoir d’actionnaires, alors il est temps de nationaliser les pertes.
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