Embarqué dans l’aventure des Restos du Coeur, j’ai eu la chance de rencontrer à quelques reprises Coluche. Il était comme beaucoup d’entre nous, un côté pile, un côté face. Du bon et du moins bon. Du génial et du minable. Bref, un mec (presque) normal, qui a eu le mérite de s’engager dans une cause noble et d’y mettre toute son énergie, alors qu’il aurait pu se contenter de fumer des tarpés aux Antilles.
Lederman, c’était autre chose : il transpirait déjà le fric, la magouille et la manip. C’est son fils Alexandre qui a lancé les Restos en province à travers les élèves des Sup de Co.
Qui manipulait qui ? Lederman ou Coluche ? Difficile à dire. Les "vedettes" sont souvent seules dans leur tête et ont besoin d’un mentor. Les mentors sont souvent des artistes frustrés qui vivent à travers la notoriété et le talent de leurs poulains. C’est bien, c’est mal ? je ne sais. Mais je n’ai jamais aimé Lederman...
Quant aux commentaires pointilleux de l’auteur... C’est bien de relever les détails qui déconnent... et alors ?
Et je ne sais plus qui a évoqué Bigard en pensant à Coluche : je me marre ! Mais j’arrête là, je vais être désagréable...
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