"Le résultat est qu’on vient de tomber de haut. La bourse a chuté d’environ 50% depuis le 1er janvier 2008. Ce n’est pas une « destruction de valeur » réelle des actifs de l’économie (la capacité des entreprises à produire n’a pas été modifiée), mais c’est tout comme car c’est la prise de conscience que la valeur de patrimoine de l’économie est deux fois moindre que ce que l’on croyait."
Ca me laisse toujours un peu perplexe, car à mes yeux il y a toujours un échange : jamais de la valeur ne peut se volatiliser comme ça ! Si un le cours d’une action s’effondre, son détenteur perd de l’argent, ça c’est certain. Mais qui en gagne ? Probablement celui qui a vendu l’action au détenteur actuel. De toute manière une perte ou un gain ne peut être établi qu’avec une réelle transaction.
Et donc dans cette crise, s’il y a des perdants, il doit forcément y avoir des gagnants. Et pour les trouver, il faut remonter au début de la crise : ceux qui se sont enrichis alors qu’ils n’auraient pas dû (même si ce n’est pas de leur faute bien sûr), ce sont avant tout les constructeurs et vendeurs d’immoblilier américains.
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