PPDA , presque quarante ans de carrière derrière lui (on l’oublie), a un peu de mal à accepter de ne plus être le Roy du Vingt Heures. Par le jeu du mieux-disant culturel, et de la Loi sur la Limite d’âge, qui permet (ailleurs qu’à la télé) de licencier les cadres à 45 ans vu qu’ils ne savent plus s’adapter, il se retrouve à 60 ans à la retraite comme un vulgaire salarié. Astre solaire, il devient pépé-cassoulet. Quel outrage. Aussitôt, il déchire sa chemise et exhibe son poitrail dans Paris-Match, et décide de faire regretter son employeur en apparaissant partout. Et puis attention, le Goucourt n’a qu’à bien se tenir, c’est qu’en plus, PPD est un Grand Ecrivain. Et puis, oh lala, avec Madame Chirac et la Fondation Pour l’Adolescence et Contre l’Anorexie, la Maison de Solenn, vous allez voir ce que vous allez voir, on devrait avoir honte de martyriser un saint homme, qui lui, a tant souffert dans sa chair (photo, SVP), tellement qu’il en a fait un livre.
L’ennui, c’est que la vie de PPDA, qui se faisait je ne sais pas combien de millions d’euros par an à chuinter dans le poste, à part les medias, personne ne s’y intéresse. En fait, même, tout le monde s’en fout, on est plus occupés à surveiller le prix du gasoil et des légumes.
Et moi personnellement, cet étalage, je trouve ça assez indécent. Alors le mieux, c’est de ne pas en parler.
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