Alors :
Un mois après avoir décroché sa septième victoire dans le Tour de France cet été, Lance Armstrong, jeune retraité, revient sur le devant de la scène. Mais il est cette fois question de dopage. Six de ses échantillons urinaires, collectés lors du Tour 1999 et analysés a posteriori par le labo de Châtenay-Malabry, sont marqués de la signature de l’EPO.
Ce qui le blanchit, la présomption de fraude du laboratoire :
L’avocat mandaté par l’UCI soutient même dans ses conclusions que les échantillons du cycliste prélevés en 1999 ont pu être "remplis" de substances illicites à n’importe quel moment entre 1999 et 2001, date des premiers tests mis en place pour détecter des éventuelles prises d’EPO (erythropoïetine).
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