Celà étant dit, je pense que tout le monde pourra ressentir, comme certains l’ont savamment expliqué ici-même et plus haut sur ce fil, qu’au delà de la peine qu’on peut éprouver devant ce drame, on ne se suicide pas parce qu’on a connu un accroc dans sa carrière.
Car sinon, il y aurait beaucoup plus de suicides qu’il n’y en a, et l’espèce humaine n’aurait pas survécu aux épidémies.
Il est sûrement dommage que cette affaire de non-titularisation, obscure pour la plupart d’entre nous, ait fourni à cette jeune femme le dernier prétexte qui lui manquait pour passer à l’acte. Un peu plus d’attention de la part de ses collègues n’aurait pas fait de mal, comme l’absence de huit collègues sur dix semble le démontrer, mais il est injuste, ou non-juste, d’en faire porter la responsabilité à qui que ce soit.
Comme par ailleurs, les causes exactes de ce drame ne pourrait être recherchées que dans l’histoire personnelle de la victime, qui n’a pas à être connue ni analysée ici, il me semble qu’on aurait pu faire l’économie de la publication de cet article qui n’est qu’un torchon de plus commis par un auteur dont la spécialité est manifestement, comme son oeuvre Agoravoxienne nous le dit abondamment, de trainer aussi près que possible de la décharge d’ordures.
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