A Pierre,
Votre haine de Heidegger et des phonoménologues vous égare.
Dans le papier précédent sur cette affaire vous traitez la philosophie de Heidegger de "maladie de la pensée",
que sont ces anathèmes d’un autre âge ?
Où est la mesure et le respect qui devraient guider vos réflexions ? Vous donnez une bien piètre image du résultat auquel mène les réflexions sur la philosophie analytique.
Nieztsche, Heidegger, et Foucault et Deleuze sont des penseurs qui comptent, tentent d’analyser et de comprendre l’histoire des sociétés humaines, l’hisoitre des concepts.
Si je ne partage pas le point de vue de Frege, Russel ou Wittgenstein sur le but de la philosophie, la ramener à une études logique des discours et des jeux de langage, au moins il ne me viendrait jamais à l’esprit de les traiter de "maladie de la pensée" comme vous le faites.
Ils sont, de mon point de vue, l’enfermement de la philosphie sur elle-même, le désinterêt pour le débat qui compte vraiment, celui de la definitions des valeurs et des buts que se fixent les individus et les sociétés.
La démocratie a besoin, depuis l’origine, de philosophes pour animer et ranimer le débat des valeurs. S’enfermer sur les questions logiques est la mort de la philosophie et l’abandon de son rôle dans la dynamique des sociétés démocratiques.
Cordialement,
Zenon
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