Ceux qui décident à haut niveau, comme notre Chef, de dévelmopper le réseau de télésurvaillance le fond surtout pour deux points politiquement cruciaux
- Les promoteurs de la vidéosurveillance nous promettent qu’en cas de délit, l’enregistrement pourra servir à identifier le ou les auteurs. Des exemples médiatisés sont présentés pour appuyer ce discours
- les caméras sont des objets concrets, visibles et simples pour prouver l’action d’un maire en matière de sécurité.
On voit l’action du gouvernement en terme de sécurité et on se sent rassuré. Ensuite, les images qui permettront d’arrêter des racailles, en étant médiatisées à outrance alimentent le fond de commerce sécuritaire en
permettant de rendre la délinquance omniprésente, de faire peur, et de resserer les rangs autours de celui qui crie au loup
Et comme el dit l’auteur,une commune assez nantie pour mailler tout son territoire (possible, notamment en IDF) fait refluer une partie de la délinquance vers les commune éloignées qui n’ont pas les moyens d’un tel réseau, plus populaires, et où les actes de délinquances n’ont pas le même retentissement médiatique ainsi qu’en terme de statistiques (moins de plaintes)