"Le paysan moderne est souvent plus proche de l’industriel" écrit Marc Bruxman.
Vrai en Beauce, en Brie ou en Picardie, régions de très grande production où les exploitations se mesurent parfois en milliers d’hectares à fort rendement. J’ai même connu un de ces "paysans" qui n’a pratiquement jamais mis les pieds sur ses terres de l’Aisne (gérées par un intendant) et habite dans un immeuble chic de l’avenue de Suffren !
Mais cela reste totalement faux dans la plupart des exploitations de montagne où vivent tant bien que mal des milliers de petits paysans aux revenus incertains et dont beaucoup ne survivent désormais comme jardiniers du terroir qu’avec l’aide des maigres subventions européennes.
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