L’objet de ce point de vue n’est pas la responsabilité de l’adolescent qui a (ou n’a pas menti), mais bien sur ce que notre système procédural autorise en terme de privation de liberté et de conditions dégradantes sur les simples affirmations d’une personne. Ces conditions sont suffisamment dures (c’est un euphémisme) pour justifier un encadrement légal plus strict et donc plus protecteur de l’individu ainsi mis en cause dans le cadre d’une procédure policière.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération