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timiota 25 novembre 2008 23:52

Disons qu’au niveau des étudiant(e)s en sciences que je fréquente, le coté
"je ne sais pas trop ce que je vais faire, mais je suis la , voila", est l’apanage des garçons, et le message des jeunes femmes est plus net, "je voudrais ceci, plutot que cela" d’ou "que dois-je faire ?" quand le coup n’est pas déjà parti.

Cette indétermination des garçons conduit un grand nombre d’entre eux à être très coulant vis à vis des conflits, ’no testosterone’ en apparance.

POur un garçon, rien en compte parce qu’on m’en demande assez peu, et que je peux rester pas mal dans un monde intérieur, ou pas compromettant à l’extérieur.
Pour une fille, l’exigence de résultat ou la dévalorisation sont des alternatives plus tranchées.

C’est évidemment le social qui fait le gros de la différence, pas l’hormone. Vieux mot tard le dire que jamais


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