Dans cette révolte des banlieues, les instances gouvernantes de la police ont prononcé deux mensonges d’état relayés par les médias, qui ne les ont presque pas corrigés.
1) L’enquête policière a affirmé que les trois jeunes n’étaient pas poursuivis par des policiers. Or le seul survivant dit le contraire. N’est-ce pas bizarre comme on a oublié qu’il existe un témoin de premier plan ?
2) Le ministre a dit que les incendiaires (j’utilise plutôt le mot pyromanes) étaient dans leur grande majorité des délinquants récidivistes, ce qui s’avère être faux.
Ces deux mensonges d’état sont suffisamment graves pour demander la démission de celui qui en est le responsable.
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