Soyons réalistes : Nous avons à faire face à la dernière tragédie en cours de l’Histoire de l’Humanité, une Histoire qui regorge d’épisodes dramatiques et violents.

Il en a été ainsi dans le passé, qu’est-ce qui pourrait bien nous faire croire qu’il en ira différemment dans l’avenir ?

Cet épisode dramatique est le résultat de la faillite sanglante de la décolonisation, dont on voit les effets et les conséquences terribles aujourd’hui, en Afrique et au Moyen-Orient.

Et ce n’est pas fini : N’oublions pas qu’il y a aujourd’hui, en particulier au Maghreb et au Moyen-orient, des pays qui font encore illusion à cause de la rente pétrolière qui leur tombe dessus sans effort, mais que ces pays et leurs populations ne sont pas maîtres de leurs destins, puisqu’ils passeront tous par la fenêtre dès que cette rente miraculeuse sera épuisée.

Il n’est bien sûr pas question de recoloniser à présent, d’ailleurs on ne trouverait pas beaucoup de volontaires chez les anciens colonisateurs.

La question restera donc ouverte chez les anciens colonisés, mais on se doute bien, en les voyant se précipiter sur leurs radeaux pour traverser les mers et se faire attribuer piteusesement des papiers et des titres de séjour chez leurs anciens colonisateurs, qu’une recolonisation en bonne et due forme ne serait pas pour le déplaire !

Malheureusement recoloniser ces populations en déshérance ne va pas être possible, ni chez eux, ni chez nous. Il va donc falloir renvoyer chez eux tous ceux dont nous ne voulons pas, en commencant par ceux qui constituent la plus lourdes charge et la menace la plus immédiate pour nos modes de vie et pour nos institutions, car elles sont décidemment incapables de s’adapter à nos sociétés laïques et démocratiques.
Sans même parler de leur loyauté à notre égard.

Il est en effet devenu impossible de traiter de façon indifférenciées des populations qui s’intègrent chez nous sans problème et des populations qui n’y parviennent pas. L’équité nous commande de privilégier les unes et de chasser les autres.

Remarquons, pour finir, que les populations qui ne causent aucun problème sont celles qui proviennent de pays qui sont en voie de développement rapide, tandis que celles qui échouent à s’intégrer chez nous proviennent de pays qui sont embourbées dans le sous développement.

Il y a là un problème qui ne pourra être traité qu’à l’échelle du Monde entier et, en attendant, nous n’avons aucune raison de prendre à notre charge des gens pour lesquels nous ne pouvons rien et dont nous ne voulons pas.