Entre les pessimistes et les optimistes, il y a la force du vivant, bien au-delà de nous. Alors, soit nous mettons dans son sens, soit nous continuons à nager à contre-courant, mais, ce qui est certain c’est qu’il nous faudra bien choisir, le moment est propice. Quoi qu’il en soit, je maintiens l’idée selon laquelle Babylone contient les germes de sa propre fin.
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