Du bon usage de la piraterie, par Florent Latrive, publié aux éditions Exils.
Un livre qui remet en avant plan l’absurdité de la chasse aux pirates et l’amalgame fait entre celui qui télécharge un mp3 et l’activiste terroriste.
Livre, légalement téléchargeable à http://www.freescape.eu.org/piraterie/complet.html,
Et ce llivre permet de comprendre mieux le domaine.. Un CD est un objet., comme peut l’être un tableau ou un disque vynil. Un fichier numérique n’en est pas un.
L’artiste souhaite être lu / vu / entendu et souhaite restreindre les droits de ses lecteurs / auditeurs / .... il souhaite parfois que cette oeuvre lui rapporte des sous, .... mais pas toujours ou pas directement. Tout cela est développé dans le livre de Latrive.
On peut souhaiter que la société offre un cadre de créativité et les moyens de vivre aux artistes, la culture fait partie de la société et je ne vois pas d’inconvénient à ce qu’un budget de l’Etat soutienne la culture.
Par contre confier la gestion d’une taxe déguisée à une commission partie prenante et bénéificiare ... là, je ne suis pas d’accord.
Cette commission est-elle soumise au controle de la Cour des Comptes ?
Les artistes qui publient sous licence libre sont-ils bénéficiaires ? Ou est-ce réservé aux esclaves de la SACEM ?
Et si je stocke (copie dans lon lecteur mp3) les fichiers que je télécharge légalement depuis www.jamendo.fr (l’équivalent de 12000 CD en ligne) pourquoi devrais- je financer les artistes qui ne publient pas leurs oeuvres sous licence libre ?
Cett eredevance / taxe sent le souffre !
Bigre !