@ virgule,
Je ne pense pas que ce soit le mondialisme qui soit la cause de tous nos soucis.
Le mondialisme ne date pas du XX et XXI ème siècle. La route de la soie, la conquête du nouveau monde, le commerce maritime avec les pays nordiques et le moyen orient ont quelques siècles. La déportation d’esclaves et le commerce qu’il a engendré c’était déjà une forme de mondialisation.
Les esclaves d’aujourd’hui viennent seuls pousser par la faim et la misère qui règne dans leurs pays. En plus, ils doivent payer leur transport sans être sûr d’arriver vivant sur les terres promises. Depuis le nombre d’années que cela dure, j’en conclue que cette situation arrange pas mal de patrons à travers le monde.
Ce que nous voyons en Europe n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Il est évident que les journalistes qui appartiennent à la même sphère sociologique que les décideurs n’ont aucun intérêt jusqu’à maintenant à dire la vérité sur la réalité de ceux qui décident, sur la réalité des décisions prises et de leurs conséquences. Il me semble que pas mal de quotidiens français ont quelques difficultés financières. Quand un quotidien titre qu’il faut remettre la France au travail parce que le Petit qui nous gouverne le dit, je n’achète plus ce quotidien. Comment un pays qui se dit riche a t-il pu s’enrichir si ce n’est pas le travail des millions de salariés ? Ces journalistes ont fait un choix, qu’ils l’assume. Ceux qui informent vraiment, il y en a heureusement, on les trouvent dans des hebdomadaires qui ne compte pas sur la pub pour vivre ou sur internet.
Pour moi les droits de l’homme ne sont pas une utopie mais une référence. Un être humain quelqu’il soit doit être respecté, ceci est valable indépendamment de sa couleur, de sa culture, de sa religion.
Le respecter non parce que l’on m’a dit qu’il le faut mais le respecter parce que je me respecte moi même.
Le respect ce n’est pas un devoir mais un partage.
Quand on crève de faim on ne pense pas de la même manière que lorsque on a le ventre plein, la santé, un toit sur la tête.
Les protestants l’ avaient compris. Avant de parler de "Dieu" à un individu, il commençait par lui donner à manger et le réconforté dans son corps. On n’entend plus beaucoup parler de "L’Armée du Salut".
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