je n’ai fait montre d’aucune violence à un quelconque instant, le geste même d’atteinte à ma propre personne ayant été fait le bras tendu vers le sol, du fond de mon siège, afin que seul le chef de cabine le voit.
Je me suis au contraire beaucoup reproché ma discrétion après coup, me demandant si je n’aurais pas du "haranguer" les passagers plus. Mais il est facile, après coup, confortablement installé (et je le dis pour moi même), de dire ce qu’il aurait fallut faire. Comme je l’ai dis, mon action relevait d’une impulsion par aspects irréfrénable, d’une nécessité d’agir. Et dans la dite situation, il n’y avait guère d’autres possibilités pour être effectif, pour réussir à effrayer au mieux le chef de cabine afin d’arrêter ce vol, ce qui était mon seul but.
Croyez moi, les passagers n’avaient aucune raison d’avoir peur de moi, et ce serait chercher des excuses à leur leur lâcheté (et donc la reconnaître implicitement) que de raisonner comme vous le faites.
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