Bonjour l’auteur,
même si je souscrit globalement à ce que vous exprimez, l’inventaire à la prévers des organismes de presse qui poussent leur gérémiade prête largement à sourire.
En fait, tout cela me fait un petit peu penser à des discours de Le Pen. On y évoques des vrais problèmes, on y livre des constats lucides, mais il faut quand même pas aller jusqu’a faire confiance à ceux qui sont en place depuis tellement longtemps pour que ça aille mieux.
J’ai lu des kilomètres de roucoulades amoureuses pro-sarkozienne dans quelques uns de ces journaux. Des fleuves de connerie sur le libéralisme et la mondialisation : "La mondialisation heureuse mais contrariée" dans un journal de gauche. La stigmatisation de la législation du travail et de notre couverture sociale, autrefois qualifié d’aide, et maintenant qualifié de "rente". Les grèves qui "prennent en otage" sans jamais expliquer les raisons qui ont poussé à cela. Et que dire du chant d’amour a flot continu de tous les éditorialistes sur l’europe et son traité ultralibéral. Tout ce glissement sémantique, ce sont eux, ces mêmes médias qui en sont la cause.
Liberté de la presse, oui, mais pas avec eux. Ils l’ont eu à une époque, et voilà ce qu’ils en ont fait !
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