Ces deux-là, Petrella et Battisti, ce sont les pires :
ils ont commis des crimes de droit commun ( détrousser et abattre de sang-froid un bijoutier...., plus quelques autres...), mais ont été assez futés pour :
1) s’abriter derrière une " légitimité révolutionnaire" qui ne convainc que les gogos et les malhonnètes, au premire rang cette écrivaillonne bas de gamme de Fred Vargas
2) filer à l’étranger, c’est-à-dire bien entendu dans notre pays accueillant aux délinquants, et dirigé à l’époque par un magouilleur cynique
Les autres de leur groupe , moins rusés, se sont fait abattre ou arrêter, et ont fini au cimetière ou en prison
nul doute qu’ils admirent et respectent les deux malins qui se sont mis prudemment à l’abri :
tueurs, oui, sur des gens désarmés, là d’accord... martyrs ou héros morts du prolétariat, merci beaucoup, on préfère écrire des policiers ou faire du travail social.
je suis sincèrement et profondément désolé que ces deux crapules s’en tirent, mais espérons, peut-être qu’un jour, leur passé les rattrappera une seconde fois.
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