Il semble évident que, dans cette "affaire", le gouvernement fait pression pour conserver le présumé coupable en prison.
Pour ma part, j’ignore, bien entendu, si ce groupe et son leader sont coupables de ce dont on les accuse, ce qui me parait cependant évident, c’est que dans l’éventualité où les accusations seraient justifiées, ce sont plutôt des "branquignols", davantage "pieds nickelés" que vrais terroristes. Si les faits de sabotage sont avérés, il me semble cependant que cela mérite une sanction pénale.
Faute de mieux actuellement, le ministère de l’intérieur s’est rabattu sur ce groupe, afin de justifier la pression qu’exerce l’état sur ses citoyens. La peur, toujours...
D’ailleurs, les arguments de MAM sont savoureux, jugez en : "...un groupe qui vit de façon marginale... sans téléphone portable... qui prétend produire ses propres légumes bio... ". Conclusion par amalgame : les "marginaux" sont dangereux.
Retarder la libération du suspect, alors qu’il n’y a quasi rien dans le dossier, permet de se faire oublier, avant de le libérer, en catimini ... comme d’habitude.
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