Kouchner, ancien mao, se morfondait depuis longtemps dans le boudoir de son épouse Christine, la journaliste de « ménages » bien connue qui anime les séminaires de Médecins sans frontières pour la modique somme d’un SMIC annuel de toubib provincial. Se passer de Kouchner aurait donc été scandaleux. De plus, ce beau soixante-huitard conservé dans l’eau du Luberon, bronzé comme un sex-symbol de sitcom, attendait vainement que les socialistes, ses amis, ses frères, veuillent bien lui confier un ministère. On se souvient de ses voyages en Somalie, un sac de riz à l’épaule, qui prouvaient que cette denrée de base était arrivée à dos d’âne dans ce pays affamé. Candidat à la direction sanitaire de la FAO, Kouchner avait été recalé par sa méconnaissance de l’anglais dont il ne connaissait que « How much ? In dollars, of course ! » En lui offrant le Quai d’Orsay, Sarko lui a donc assuré une digne retraite de crétin international.
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