Très bon article qui remet à sa place l’Obamania qui a régné si longtemps.
Barak Obama n’est ni tout noir ni tout blanc, au sens propre comme au figuré. Et comme d’autres l’ont fait remarquer, en poussant l’enquète un peu loin, il faudrait aussi s’interroger sur la politique d’un Bill Clinton, démocrate et mari d’Hillary Clinton (embargo contre l’Irak, dont Madeleine Allbright a elle même avoué que le 1/2 million de morts entrainées "valaient le coup", destruction "par erreur" de la seule usine de produits pharmaceutiques et vétérinaires au Soudan, ...
La politique des U.S.A. traine tant de casseroles que même avec la meilleure volonté, il sera difficile de faire plus que de "blâmer" l’équipe de G.W. Bush.
Par contre, elle peut changer, et c’est, je l’espère, ce qu’il faut entendre dans le "tournons nous vers l’avenir" de Barak Obama.