Le capitalisme n’a pas à être démocratique, ni moral d’ailleurs, c’est juste un système économique, un moyen comme un autre de créer de la richesse. La question de la répartition de cette richesse est, elle, en revanche, une question de politique et de morale. A trop confondre l’économique et le politique, on finit par se tromper de coupable.
Sur le sujet, je vous conseille si vous ne l’avez pas encore lu le dernier bouquin de Robert Reich, l’ancien conseiller de Clinton (et actuel conseiller d’Obama si je ne m’abuse), intitulé "Supercapitalisme", qui traite spécifiquement du problème de l’équilibre, et en l’occurrence du déséquilibre, entre capitalisme et démocratie. C’est bien écrit, très bien argumenté et assez convainquant même s’il traite presqu’uniquement du cas des Etats-Unis.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération