voici le cas suivant :
un homme a placé une bombe, mais ne veut pas révéler où, pour tuer plein de gens au nom de son idéologie.
Un homme l’a capturé et il lui reste peu de temps pour le faire parler.
On fait quoi ? On se regarde le nombril au nom de sa belle morale ou on essaie de le faire parler coute que coute ?
Voila l’équation : j’ai à choisir entre un être amoché par la torture et la possiblité de sauver la vie à une dizaine de personnes... et entre ne rien faire et avoir un être vivant et une dizaine de morts...
D’un point de vue arithmétique, moi j’ai choisi la torture. Désolé, mais quand le temps compte, je n’ai pas à avoir d’état d’âme. Et si je suis la personne à prendre une telle responsabilité, j’accepte le lynchage médiatique. Je préfère avoir la conscience tranquille et avoir sauvé une dizaine de personnes et passer pour un paria que de n’avoir rien fait.
J’admire beaucoup les moralistes à deux balles qui sont incapables de se mettre en situation et qui raisonnent avec de beaux principes qui en théorie sont super mais complètement à coté de la plaque en réalité...
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