Vous écrivez "Or, à Toulouse, au fil du temps, on a regroupé pratiquemment tout ce qu’il en restait de 1918 et d’après : soit 45 000 tonnes, paraît-il."
Ce "paraît-il" semble dire que ni vous ni personne n’en savez rien.
Ce n’est pas dommageable en soi, sauf si vous écrivez ensuite "L’armée qui n’a rien fait depuis quatre-vingt ans environ, par crainte de tout faire sauter, et qui ne sait pas où sont passées les 45 000 tonnes du départ, devenues par un coup de baguette magique 5 000 seulement selon AZF, saurait en moins de deux ans dépolluer semblable site ? La preuve que non, puisque ça n’est toujours pas fait, deux années après l’avoir promis en 2007 ! L’armée sait très bien, elle, qu’il y en a bien plus que 5 000 tonnes !"
Je me permets donc de vous demander quelles sont vos sources quant à ces 45000 tonnes de départ.
Puis, comme ce produit n’explose pas mais flambe et qu’il est sous l’eau, je vous demande encore quel est le risque, puisque vous parlez d’une catastrophe plus grande encore que celle d’AZF.
Ne surfe pas sur la catastrophe d’AZF qui veut !
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