bien chers tous et tous bien chers,
passant par là, et là est question, j’ai oui, (oui, j’ai l’ouie fine) l’irrésistible appel à converser (’et non pas à peler des idiots répendus) en grande compagnie de connaisseurs de langue française, qui n’est pas donnée au chat... peut-être prêtée à ce bon gasty.
j’ai vu de la lumière, il fait chaud, me voilà entrée...
quelle belle tablée,, autour cette table carrée qui n’est pas ronde, et qui n’est pas du bois dont on fait les flûtes...
c’est clair comme de l’eau de roche, que si vous êtes là, vous n’êtes point ailleurs.
je viens faire avec vous, un peu de closerie au coin du feu.,..
c’est avec une émotion non dissimulée que je m’assois à cette place et cela me conforte dans mon désir incontestable d’aller dans le sens d’un avenir s’orientant vers plus de progrès. le particularisme dû à notre histoire unique, doit nous amener au choix réellement impératif d’un programme plus humain, plus fraternel et plus juste : afin que plus personne ne confonde le romanée-conti avec conter le roman, ce qui au goût ne donne pas du tout la même chose, le second ayant un arrière goût d’encre.
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