Rachida est à Sarko ce que fut Beregovoy à Mitterrand : une fidèle servante, confiante en son maître, prête à le soutenir contre vents et marées mais qur lr maître abandonne dès qu’elle fait un faux pas.
Ici, le faux pas s’appelle zohra, fruit d’une partie fine à laquelle participaient de nombreux personnages qui profitent de ces fêtes pour s’observer sous toutes les coutures et se tenir par la barbichette.
Le maître aurait soutenu sa servante qu’il aurait dégoté un chevalier blanc qui aurait endossé la paternité. Seulement le maître trouvait la servante envahissante et même magistrate, une beur reste une immigrée et une femme une pute.
Le seul coup de main que le maître consentit à donner fut d’ordonner à sa presse de lancer des rumeurs sur de possibles parternités toutes plus valables les unes que les autres tant elles étaient invraisemblables.
Je tiens mes informations de source sûre, les mêmes qu’Allain Jules .
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