« non olet » (en latin)
« Il ne sent pas » (traduction)
Cette réplique est de l’empereur Vespasien, qui avait la réputation d’être très économe. L’historien Suétone rapporte dans « Vies des douze Césars » que Titus, fils de Vespasien, reprochait à son père d’avoir établi un impôt sur les urines que les foulons employaient pour le dégraissage des vêtements. En guise de réponse, l’empereur lui mit sous le nez la première somme rapportée par cet impôt et lui demanda s’il était choqué par l’odeur. Vers 1834-1835, en souvenir de cette lointaine anecdote, les latrines publiques prirent à Paris le nom de... vespasiennes !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération