Nous dérivons là !
Selon Le Figaro du 3 mars, pour la secrétaire d’Etat à la famille, "il s’agit simplement de ’mieux prendre en compte l’intérêt de l’enfant’ et de ’faciliter l’organisation des actes de la vie usuelle pour ceux qui s’en occupent’, qu’ils soient hétéros ou non".
Précisons que le cas des homos représente 0,5% des cas des familles recomposées. On ne voit déjà pas pourquoi cette précision s’impose !!!
Je crains ensuite que ce texte ne soit pensé et écrit par ceux qui n’ont jamais eu à vivre, en tant qu’enfants, dans le cadre de famille recomposées.
Pour ma part, j’ai 42 ans, mes parents ont divorcé j’avais 5 ans, en 1971 donc, j’ai eu 2 beau-pères et 1 belle mère (entendez conjoints des parents). Est-il possible qu’un Ministre cortiqué et responsable, dise de telles choses ?
Le vrai problème d’un enfant de divorcé, c’est précisémment que s’exerce l’autorité parentale naturelle : PERE et MERE. C’est déjà sufisamment compliqué comme ça ; alors, donner une éxistence légale aux beau-parents, franchement, c’est le dernier problème à régler.
On ne sait plus quoi inventer pour faire diversion en temps de crise !!! Y en a même qui inventent que ce problème concerne l’homoparentalité alors qu’il existe 30.000 familles homoparentales pour 6.000.000 de familles recomposées.
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