Après le "travailler beaucoup moins pour gagner beaucoup plus", on arrive au danger du "plus" pour le système qui le génère.
En fait, le travail devrait être à la carte, à la demande et avoir les moyens de le pratiquer.
"Pourquoi donc le patronat, depuis plus d’un siècle, a-t-il accepté cette augmentation régulière du pouvoir d’achat des salariés, en temps ou en argent, sans même avoir eu l’idée de les faire travailler plus ?"
>>> sîmple parce que ce n’était pas nécessaire. parce que le consommateur était moins exigeant dans le temps et l’espace et que l’on produisait en équilibre avec la demande. Pas d’altruisme là dedans. Le travailleur s’est vu obligé de consommer pour entretenir la production de la machine.
Les syndicats y ont certainement une raison d’être dans cette situation. Maintenant, ils sont rejetés, la solidarité cela n’existe plus.
Je l’ai dit dans l’article précédent. Pour maintenir le système en vie, il faudra que le travail soit mieux rémunéré et non moins. Les stocks ne vont pas s’équilibrer avec la demande si on n’y prend pas garde.
Comme les exportations vont stagner, il faudra consommer sur place. Les pays qui ne vivent que par leurs exportations le savent très bien d’ailleurs. Je ne vais pas les citer pour ne pas faire de jaloux.
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