Quand je vois écrit par un commentateur : « on ne pourra pas supprimer les privilèges par consensus » revient à dire qu’il faut un pouvoir autoritaire, sinon totalitaire pour imposer de tels changements. On en arrive donc à l’approbation implicite la méthode sarkozienne de gouverner.
Or, un tel pouvoir, qu’il soit tenu par une formation politique comme l’UMP, ou par un mouvement révolutionnaire ne changera rien à l’affaire. Ce sera toujours une dictature. Que prône l’auteur ? Une prise de pouvoir par une minorité ?
Et si l’initiative de dézinguer les « grands partis » devenait un grand mouvement, comment croire objectivement qu’il sera exempt des travers et autres effets pervers du pouvoir ?
L’imposture est un phénomène bien complexe auquel il est difficile d’échapper complètement. Si l’interrogation de l’auteur est tout-à-fait légitime, il serait cependant avisé d’utiliser des mots qui ne peuvent se retourner contre lui.
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