Le vilain petit canard pense donc que les écrivains n’écrivent au fond que des vieilleries, qui sentent la poussière avant même d’être éditées.
Ce n’est peut-être pas faux, quand on considère que les éditeurs, en tant que fabricants et marchands de livres, se doivent de prendre le moins de risques possibles, afin de pas mettre en péril leur activité de fabricants d’écrivains.
Ce dont cette couverture serait donc bien la représentation.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération