@ l’auteur
Pas d’accord avec votre 2eme hypothèse : en cas d’hyperinflation, comme cette fois il s’agirait d’inflation sans croissance, les salaires et les revenus ne suivraient pas. On serait face à un apauvraissement généralisé des populations. Dans ce contexte, les produits dont les prix sont les plus soumis à la ’loi du marché" (rapport entre l’offre et la demande solvable), en tete desquels l’immobilier, serviraient de variable d’ajustement : les prix de l’immobilier s’effondreraient donc litéralement dans ce contexte car la priorité de 90% de la population sera d’acheter à manger et il restera bien peu pour des projets immobiliers.
Dans tous les cas, le marché immobilier est condamné à, au mieux, revenir aux niveaux de prix et volumes d’avant sa dramatique envolée lyrique (cad revenir au niveau de 1998/2000), ce qui n’est que justice pour les "nouvelles générations qui arrivent sur la marché chaque année.
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